Archives du mot-clé Ustilago scitaminea

Fiche phytosanitaire charbon de la canne à sucre

La maladie du charbon (Ustilago scitaminea) est un champignon qui attaque la canne à sucre et cause une réduction du nombre de tiges usinables. Son nom est lié aux symptômes causés sur le fouet et qui rappelle du charbon. La perte de rendement peut atteindre 50 %. 

Retrouver la description de cette maladie dans la fiche ci-dessous :

>> Télécharger la fiche maladie du charbon <<

BSV canne à sucre – Novembre 2016

>> Télécharger le BSV – canne à sucre de novembre 2016 <<

A retenir :

Météorologie : en octobre, la pluviométrie est inférieure aux moyennes décennales dans le Sud et l’Ouest contrairement au Nord et l’Est.

Ver blanc (Hoplochelus marginalis) : attention à bien veiller à la lutte obligatoire contre le ver blanc sur les parcelles en replantation.

Borer ponctué (Chilo sacchariphagus) : les attaques de borer ponctué continuent à sévir sur les parcelles non récoltées.

Borer rose (Sesamia calamistis) : un plus grand nombre de parcelles attaquées: la levée et le tallage des souches est propice aux attaques de borer de souche. Rester vigilant.

Adventices : forte pression des adventices qui s’accentue en milieu de campagne. Le paillage stoppe ou ralenti leurs progressions.

Focus : résultats de l’enquête CA d’octobre/novembre 2016.

 

BSV canne à sucre – Janvier 2016

>> Télécharger le BSV – canne à sucre de janvier 2016 <<

A retenir pour ce BSV :

Météorologie : en janvier, la pluviométrie est majoritairement inférieure aux moyennes décennales dans toute l’île.

Borer rose (Sesamia calamistis) : présence faible sur les parcelles de références de début et milieu de campagne. Avec l’arrivée du stade croissance des plants, les attaques de borer rose diminuent. A surveiller pour les parcelles de fin de campagne.

Cochenilles roses farineuses (Saccharicoccus sacchari) : attention, elles commencent à réapparaître sur plus de la moitié des parcelles du réseau !

Thrips (Fulmekiola serrata) : le risque reste moyen sur certaines parcelles du réseau, mais il diminue tout de même, cela dû aux précipitations favorables de saison.

Noctuelles défoliatrices (Leucania pseudoloreyi) : plus de pression sur les parcelles du réseau. Surveiller les parcelles de fin de campagne.

Adventices : la pression des adventices devient critique sur certaines parcelles qui n’ont pas eu d’intervention.